Stéphanie Muzard Artiste engagée et paysanne bio

Stéphanie Muzard  Artiste engagée et paysanne bio

L’accroc-nik de natur’elle, FCO : ça sent le Rossi.

L’accroc-nik de natur’elle-article à paraître dans le journal "le Lot en action ". mercredi 13 janvier 2010 dans les kiosques!

 

FCO : ça sent le Rossi.

Entretien avec Christian Rossi, éleveur de brebis à Durbans,  porte parole de la Confédération Paysanne du Lot.

 

FCO. Non, ce n’est pas un nouveau parti politique, mais le signe d’un parti pris. FCO comme Fièvre Catharale Ovine. Autant dire que la maladie de la langue bleue pourrait faire couler beaucoup d’encre. A se lécher les babines ! Qui des loups, ogres ou des agneaux sortiront indemnes de l’obligation vaccinale contre cette maladie qui touche les caprins, les ovins, les bovins, les chevaux et les animaux sauvages ? Pour en savoir plus, j’ai demandé à un éleveur lotois de nous éclairer sur cette histoire à dormir debout qui rejoint la « logique » de vaccination humaine de la grippe aviaire, cochonne, en passant par la moutonne…avec de gros sabots (ça me rappelle une chanson « quiche » et une certaine Roselyne). Dondaine. Revenons à nos moutons, après cet anthrax…

 

La FCO c’est donc une maladie virale transmise d’animal à animal, par le vecteur d’une espèce de moucheron, qui ne se transmet pas à l’homme. Cette maladie a 24 sérotypes , la France est touchée par 2 sérotypes. La volonté politique est d’éradiquer cette maladie par la vaccination obligatoire des cheptels des éleveurs -y compris bios.(Notez, je n’ai pas écrit éradiquer les éleveurs bios…hum ?)

Or, à chaque sérotype, son vaccin, renouvelable tous les 6 mois/un an.

 

D’après Christian (et beaucoup d’éleveurs français), choisir la vaccination comme méthode de lutte et penser éradiquer la maladie est une vue de l’esprit, une aberration :

« Les vétérinaires qui piquent pour vacciner des troupeaux de 500 à 1000 brebis, avec le vecteur d’un animal piqueur, c’est aussi la possibilité de propager la maladie par les seringues. Avec un peu de chance, tu piques un premier animal qui est porteur ! »

 

Ça rappelle des souvenirs de sang contaminé et de sida, non ? Finalement, on fait le boulot du moucheron, formidable! Travailler plus pour gagner plus…mais la morale de cette fable digne de La Fontaine ne dit pas qui sera bénéficiaire : le moucheron, l’éleveur, le vétérinaire, les instances sanitaires, le ministère…ou les fabricants de potion magique.

 

« L’an dernier, la DSV (Direction Services Vétérinaires) a décidé de rendre obligatoire la vaccination, en partie à charge de l’éleveur (800 € /an) quand des foyers étaient détectés, en pleine explosion de la maladie…On ne vaccine pas quelqu’un ou un animal malade qui est en train de faire une immunité naturelle ! 

Le choix de la vaccination n’a pas été le choix de tout les pays, loin de là. On y vit avec tout ces sérotypes qui rendent quelque fois malades. Chez les bovins, par exemple, il y a peu de problèmes. En effet, dans de nombreuses régions du monde, l’immunité naturelle prévaut.

Un troupeau est testé positif au virus, dans 80 % des cas, et avec de faibles signes cliniques : les animaux déjà malades, fatigués ou vieux seront atteints. »… Ce qu’on appelle la population à risque!

 

Fin 2009, après un avis de l’AFFSA, et d’autres fédérations professionnelles comme la FN DGS, on a jugé cette vaccination obligatoire non nécessaire. A la faveur du départ de Michel Barnier du ministère de l’agriculture, les éleveurs espéraient que la vaccination serait volontaire ou pas pour 2010. Libre choix.

« Mais Bruno Le Maire, le nouveau ministre de l’agriculture a renouvelé l’obligation vaccinale avec prise en charge à 100% de la vaccination en débloquant une enveloppe de 98 millions d’euros. » …Histoire de calmer un peu les éleveurs soupe-au-lait, de retirer le « lait » sur le feu, comme on dit !?...La bouille rage et pattes-à-rage sont les deux mamelles de la France. Le ministre Duc de Sully du 17ème siècle le savait déjà…

 

Christian poursuit :

 « Les vétérinaires ne sont pas chauds n’étant pas sûrs d’être payés car organisation  et embauches demandent aussi du temps, de l’énergie et des frais supplémentaires »

(Mais Roselyne peut coacher Bruno). 

« Les demandes de dérogations s’en suivent, acceptées à condition d’effectuer des virologies- et non de sérologies- 20 € par analyses et doivent en cas de présence du virus…s’engager à vacciner tout le troupeau…déjà atteint !!! » Ah, ah ? Mais il a déjà la maladie, le troupeau…De La Fontaine, on passe donc à la fantaisie d’un sketch digne de Desproges ou encore Dr Knock. Je ne sais pas vous, mais c’est à se gratter la tête et à vous chatouiller le porte-feuille…

 

Le clou du spectacle: « tu vaccines, tu es pris en charge à 100%. Tu déroges : les analyses sont à tes frais et si il y a virologie positive, tu dois vacciner, et en plus, c’est à ta charge… »

Un peu, finalement, comme les paysans en agriculture biologique et naturelle, et qui doivent payer des certifications écocert pour ainsi montrer patte blanche et prouver qu’ils ne font pas du crottin. Ou, s’ils sont contaminés aux ogm par Monsantu, sont poursuivis pour payer des droits d’auteurs royalties par les pollueurs. Magique système. Et là, c’est carrément Disney parade ! Label et la bête…

 

… comme choux : il suffirait de faire de la prévention pour que les animaux aient de bonnes défenses immunitaires avec des produits naturels et des traitements homéopathiques (cure de Chlorure de magnésium, par exemple).Non remboursé par la sécu, bien entendu ! Vous savez, le trou, que dis-je, le gouffre -non pas de Padirac- Roselyne aurait pu aussi le « boucher » avec le coût des doses de vaccins pour la grippe machin haine 1 et l’opération vaccination des masses. C’est le profit : ruez-vous sur les soldes, elle déstocke…option !

 

 « Le moyen le plus efficace et le moins onéreux est la désinfection du bétail par pulvérisation d’insecticides. Le GDS du Lot, groupement de défense sanitaire, a mis en place un tunnel de désinfection, où on pulvérise à forte pression un insecticide* mais on ne sait pas vraiment ce que c’est que ce produit. L’éleveur peut aussi pulvériser seul chez lui» (Voir annexes, édifiant ! Et le film « nos enfants nous accuseront » de Jean-Paul Jaud)

 

Casqué, botté, une burka étanche, chat va sans dire…

Désinfection avec insecticides…fabriqués par… Novartis !…ah, là, effectivement, efficace ! Moucherons, …et abeilles, tout y passe ! En effet (secondaire…), les produits de désinfection du bétail pour lutter contre la FCO pourraient être responsables de la mortalité importante d’abeilles observée dans le département de l’Ariège. Une enquête vient d’être lancée par les services vétérinaires du département. La Confédération paysanne a demandé au ministère l’arrêt immédiat des traitements obligatoires.

 

« Le but de la vaccination était de limiter la propagation de la FCO sur tout le territoire. Comment maîtriser, le vent, les moustiques, les animaux sauvages (biches, cerfs et autres) ? Aucune étude n’a été faite sur les effets suite aux vaccins mais une chose est sûre : peu d’éleveurs (75% des cheptels) souhaitent renouveler l’opération en 2010 car il y a eu des soucis sur les bêtes, sans études épidémiologiques. Mais il y a des poursuites pénales et des mesures de rétorsions, des pressions, alors, souvent, les éleveurs vaccinent, comme par exemple pour les bêtes à l’export, devant partir se faire engraisser en Italie, où le vaccin est obligatoire, avant de revenir pour être transformés en France . »

 

Et l’agneau de Nouvelle Zélande que nous consommons, vendu dans les grandes surfaces ? Élevée en extensif, et surtout pour la laine, la viande serait sans doute peu vaccinée FCO mais passerait quelques mois à transiter dans des paquebots…avec quelques irradiations sans doute…et le tour est joué. (le tour de la planète à la nage, c’est assez délicat pour un agneau de 4 mois)… A nous rendre chèvres…

 

Alors, mes amis consom’acteurs…et vaccinés ou non machin haine 1, nous ne sommes plus à une fable près : ne soyons pas des moutons!

L’agrochimie a un appétit d’ogre, de loup, « GARGAN – TUESQUE ». Pétitionnons. Avant que le fiel ne nous tombe sur la tête. Se méfier quand même des petits chaperons rouges que nous sommes aussi.

 

 

Natur’elle, non vaccinée par Novartis.Bêê.

 

 

 

 

 

 

 

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ANNEXES et recherches internet…fructueuses…

 

AFSSA : agence française de sécurité sanitaire des aliments

FNGDS : Fédération Nationale Groupement de Défense Sanitaire

 

Références internet :

 

Caractéristiques des insecticides utilisables chez les animaux http://www.gds38.asso.fr/web/gds.nsf/8cb279f7ace047aac1256c0f004cf0d5/4bd9e32a649b6da7c125737b0070734a!OpenDocument

 

http://www.fcoinfo.fr/spip.php?article36

Et inconvénients …(du traitement)

 Les pyréthrinoïdes sont sensibles à la lumière et inactivés par les rayons UV. Ils ont donc une rémanence relativement courte en cas d’application externe (15 à 20 jours). Il faudrait donc pouvoir renouveler les traitements…
 Pour être efficaces, les modalités d’application des produits (sites d’application, dose, formulation) doivent être précisées et tenir compte du comportement des espèces de Culicoïdes vectrices présentes en Europe du Nord dont un certain nombre sont en cause dans le développement de l’épizootie du virus de sérotype 8.
 Les pyréthrinoïdes induisent une modification du comportement de nombreux diptères (parmi lesquels les moustiques) qui s’éloignent et évitent les animaux traités. L’insecticide joue alors au mieux un rôle de répulsif et la population des vecteurs n’est pas directement atteinte.
 Des phénomènes de résistance aux insecticides ont été observés. Connus chez les moustiques, ils peuvent apparaître ou exister d’ores et déjà chez les Culicoïdes dans la mesure où l’usage des pyréthrinoïdes est répandu depuis longtemps. L’utilisation successive de produits différents permettrait de limiter l’apparition d’une possible résistance.
 L’impact écologique de l’utilisation massive d’insecticides sur les animaux n’a pas été évalué.

En pratique :

Seuls peuvent être employés les produits bénéficiant d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM). Dans le cas présent, on aura de préférence recours aux produits utilisés dans le cadre de la prévention et du traitement des infestations par les mouches. Les Pyrethrinoïdes sont des antiparasitaires externes qui répondent à ces exigences et peuvent par conséquent être recommandés.

Reste qu’il n’existe à ce jour aucun insecticide bénéficiant d’une AMM pour les caprins. Le principe dit de « la cascade » permet dans ce cas d’utiliser les médicaments ovins ou bovins sur prescription vétérinaire. Des délais d’attente forfaitaires doivent alors être respectés : 7 jours pour le lait et 28 jours pour la viande.

Le renouvellement périodique des traitements, en principe nécessaire, pour maintenir la protection des animaux au cours du temps, pose, au delà des incertitudes sur une possible incidence environnementale, des problèmes pratiques et économiques.

Les produits :

pulvérisation

butox ® 50 ‰

http://www.intervet.ma/products/butox_50/020_d_tails_du_produit.aspx#

laboratoire intervet SA

acadrex ® 60

http://www.gdma76.fr/rubrique/pageLibre000206b2.asp

ACADREX 60 (Fenvalérate), NOVARTIS SANTE ANIMALE SAS

 

aérosols : arkofly ® http://www.emys.fr/ARKOFLY-520-ML/fr

tiens marrant... encore novartis...

 

très instructif: recommandations de Novartis !!!!!

 http://www.graphidoc.com/email/triptik_fco.pdf

 

 

le clou :tu tapes http://www.google.fr/search?sourceid=navclient&hl=fr&ie=UTF-8&rlz=1T4GZAZ_frFR345FR346&q=insecticide+FCO+et+abeilles

 

http://www.google.fr/search?sourceid=navclient&hl=fr&ie=UTF-8&rlz=1T4GZAZ_frFR345FR346&q=insecticide+FCO+et+abeilles

Enquête sur des morts d’abeilles et la désinfection du bétail contre la FCO


Les produits de désinfection du bétail pour lutter contre la fièvre catarrhale ovine (FCO) pourraient être responsables de la mortalité importante d’abeilles observée dans le département de l’Ariège. Une enquête vient d’être lancée par les services vétérinaires du département. La Confédération paysanne a demandé au ministère l’arrêt immédiat des traitements obligatoires.

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http://www.apivet.eu/2009/02/la-lutte-contre-la-fco-peutelle-%C3%AAtre-responsable-de-cas-dintoxication-des-abeilles-la-question-est-p.html

 

La lutte contre la FCO peut-elle être responsable de cas d’intoxication des abeilles? La question est posée après un possible cas d'intoxication d'abeilles à la Perméthrine en Ariège.

 

http://www.confederationpaysanne.fr/mortalite_abeilles_fco-_halte_desinsect_20.php&actualite_id=1394

Mortalité d'abeilles : FCO- Halte à la désinsectisation !

Communiqué de presse - 13 fév 2009

La Confédération paysanne demande l'arrêt immédiat des traitements de désinsectisation dans les luttes contre la fièvre catarrhale ovine (FCO).


De nombreux organismes contestent l'efficacité d'une telle lutte insecticide.


Dans le département de l'Ariège, fortement touché par la FCO, au moins la moitié des apiculteurs professionnels ont leurs colonies décimées par ces traitements. Leurs ruchers ont perdu 50 à 80% de leurs colonies.


Des apiculteurs de l'Aude, des Pyrénées-Orientales, des Hautes-Pyrénées, de Haute-Vienne et de l'Aveyron ont également signalé des pertes importantes et des symptômes identiques.


Les apiculteurs de la Confédération paysanne sont scandalisés par le désintérêt manifeste de l'administration vis-à-vis de l'abeille et des autres insectes pollinisateurs.

 


La Confédération paysanne demande au ministère de l'Agriculture :


l de modifier l'arrêté du 4 novembre 2008 relatif à la désinsectisation obligatoire ;


l d'intervenir auprès de la commission européenne pour faire changer la directive européenne 2000-75.

 


Ces revendications ont été portées le 9 février devant le cabinet du ministère de l'Agriculture par une délégation d'apiculteurs de la Confédération paysanne.


104 rue Robespierre - 93170 Bagnolet
tel +33 1 43 62 04 04 - fax +33 1 43 62 80 03 - courriel

 

 

 

 

 

 

 

Pétition…

 

http://www.giezoneverte.com/

 

FCO : 1000 signatures ! Suites et infos...
1000 mercis !
Vous êtes déjà plus de 1000 à avoir signé la pétition de soutien aux agriculteurs en lutte contre l'obligation de vaccination FCO. Merci à vous tous qui avez permis d'atteindre ce premier seuil symbolique, en diffusant la pétition autour de vous ainsi que sur vos différents blogs et sites militants.
"Je vous remercie de votre initiative, cela nous dégage du temps pour travailler sur d'autres choses tout aussi importantes.
La pétition va nous permettre de démontrer que les consommateurs ne veulent pas de produits issus d'animaux vaccinés. Cela constituera une preuve pour les personnes engagées au tribunal administratif pour refus de demande de dérogation.
Merci de votre soutien"
Stéphane Montigny, Agriculteur en Haute-Loire, pour le GDRO-FCO
(Groupement de Défense des Refuseurs aux Obligations FCO)
Une pétition utile
Signer une pétition c'est bien, que cela serve à quelque chose c'est mieux... voici donc quelques mots sur les procédures en cours et l'importance de cette pétition.
Les agriculteurs qui refusent la vaccination doivent demander une dérogation. Ils devaient le faire avant le 31/12/2009 s'ils optaient pour la dérogation "éthique" (voir ci-dessous), et les premières signatures reçues avant cette date ont pu être annexées aux demandes de dérogation. Mais ce n'est pas fini.
Deux procédures de dérogation sont proposées : pour raison économique ou pour raison éthique.
•La dérogation "éthique" entraîne une obligation de multiples contrôles sanitaires supplémentaires à la charge de l'agriculteur ainsi que des restrictions sur la circulation ou le transport du bétail, telles que l'obligation de désinsectiser animaux et camions (ce qui signifie que le bétail élevé en bio serait généreusement aspergé d'insecticide avant d'être amené à l'abattoir...).
•La dérogation "économique" n'a été accordée qu'aux centres d'insémination, car ils exportent des semences et les autres pays ne veulent pas de semence d'animaux vaccinés... (la plupart des autres pays Européens n'imposent pas la vaccination).
Les agriculteurs refusent pour la plupart de s'inscrire dans le cadre extrêmement contraignant et coûteux de la dérogation "éthique"... mais la dérogation "économique" leur est aujourd'hui systématiquement refusée. Ils saisissent alors le Tribunal Administratif pour faire appel de ce refus.
C'est dans ce cadre que cette pétition est utile : elle permet de prouver au Tribunal que les consommateurs (clients de ces agriculteurs) refusent la viande vaccinée, et que l'obligation de vaccination est bien incompatible avec la pérennité économique de ces exploitations, puisque les clients n'achèteraient plus leur production. L'objectif est ainsi d'obtenir une première dérogation "économique" dans le cadre de ces procédures d'appel, pour constituer une jurisprudence.
Ils l'ont fait : "Mort aux moucherons !"
La FCO n'est pas contagieuse mais se transmet par les moucherons... nos brillants responsables ont donc eu une idée de génie : rayer les moucherons de la surface de la Terre. Et ils sont passés à l'acte : dans certaines régions où la FCO était apparue, les autorités ont ordonné la diffusion massive d'insecticide ! Cette technique détruit bien sûr de nombreux autres insectes, dont les abeilles, et n'a pour seule conséquence à terme que d'accélérer la sélection naturelle de moucherons résistants aux insecticides. Elle met en danger la santé des éleveurs, des employés d’abattoir et contamine la viande des animaux qui partent en abattoir. Sans compter les zones de culture et d'élevage bio...
Et finalement, cette solution à courte vue s'est avérée totalement inefficace contre la diffusion de la FCO... mais très bénéfique pour le chiffre d'affaires des fabricants d'insecticides !
Continuons !
Les procédures au Tribunal Administratif vont se multiplier, certains agriculteurs pourraient même être poursuivis au pénal. La pétition sera à chaque fois utilisée pour prouver que les consommateurs refusent de consommer des produits contaminés par les adjuvants des vaccins, et font confiance aux éleveurs pour mettre en oeuvre des stratégies alternatives de lutte contre la FCO, favorisant l'immunité naturelle et le travail sur les conditions d'élevage.
Continuez à diffuser et faire signer la pétition autour de vous !
Merci à tous pour votre soutien !
Pourquoi la Coopérative Atanka s'engage-t-elle ?
La Coopérative Atanka commercialise des produits bio et paysans, elle regroupe des consommateurs qui refusent d'avaler n'importe quoi et des producteurs tournés vers l'avenir, qui inventent au jour le jour l'agriculture de demain. Pour survivre, ces producteurs doivent lutter contre le lobby de l'agro-business et ceux qui le servent. Pour les soutenir et donner à nos enfants la possibilité d'une autre agriculture et d'une autre alimentation, nous commercialisons leurs produits (ça tombe bien ils sont délicieux !) et soutenons leurs combats.
Pour en savoir plus :
» GIE Zone Verte (collectif de vétérinaires) : www.giezoneverte.com
» Coordination nationale des collectifs FCO contre l'obligation de vacciner : www.collectif.org
» Groupement de défense des refuseurs aux obligations FCO : gdrofco.free.fr
» Coopérative Atanka : www.atanka.com (et www.facebook.com/atanka)

 

Irradiation des aliments

http://www.mdrgf.org/5.somirradiation.html

 

 



11/01/2010
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